Praticable N°4
Praticable N°4
Dinan is a heritage city, the bulk of its heart is the sixteenth, seventeenth century. My first contact with this environment was to ask me in a context of heritage preservation as important, how the young population is projected in this city.
My proposal was to work on a concept of FIGS. Try to re-examine paint codes «classic» in great scenes where there are always scenes where devices what happens is not always explicit. However, analysis of these groups and individuals who are used to understand or at least have an idea of the company at that time.
With choreographer Loic Touze, we offered to students to work with us on the composition of situation. The working protocol after different workshop sessions was to establish specific situations with the students, their request to take time to experience this situation and «out»of space when they wanted. It is from the moment the scene changed as I started to take pictures.
The result is a series of photographs that are articulated with a central stage devices and scenes that make up any potential narrative possible.
Praticable N°4
Dinan est une ville patrimoniale, l'essentiel de son cœur est du XVIe, XVIIe siècle. Mon premier contact avec cet environnement a été de me demander dans un contexte de préservation du patrimoine aussi important, comment la jeune population se projetaient dans cette ville.
Ma proposition a été de travailler sur une notion de figures. Essayer de re-interroger des codes de peinture dite «classique» où lors de grandes scènes il y a toujours des scènes périphériques dans lesquelles ce qui se joue n'est pas toujours explicite. En revanche, l'analyse de ces groupes et des personnes qui les constituent permet de comprendre ou du moins d'avoir une idée de la société à cette époque.
Avec le chorégraphe Loic Touzé, nous avons proposé à des lycéens de travailler avec nous sur la composition de situation. Le protocole de travail après différentes séances d'atelier a été de mettre en place des situations précises avec les lycéens, de leurs demander de prendre le temps d'éprouver cette situation et de «sortir» de l'espace quand ils le voulaient. C'est à partir du moment ou la scène se modifiait que je commençais à prendre les images.
Le résultat est une série de photographies qui s'articulent avec une scène centrale et des scènes périphériques, qui composent tout un potentiel de narration possible.